#8 sur 94 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
139 avis
Bonjour à toutes et à tous,
Continuation d'un "air-trip" 100% avgeek au Japon et Corée du Sud qui m'aura vu enchaîner 14 vols CDG/CDG en 5 jours. Ceci est le dernier des 4 FRs consacrés à cette petite escapade en solo dont seuls certains lecteurs de ce site peuvent comprendre les motivations…
Outre le récap du routing complet ci-dessous, ce récit se terminera par un bonus consacré au musée national de l'aviation coréenne, situé à l'aéroport de Séoul-Gimpo.
Voici donc comme promis mon itinéraire complet du dimanche 7 avril à 13h20 au vendredi 12 avril à 5h20, soit exactement 4 jours et 17 heures. J'ai ajouté entre parenthèses le nom de quelques compagnies locales pour ceux qui ne sont pas familiers avec les codes IATA "2-digit"
A ce stade, une petite précision s'impose : pourquoi donc Lucky Luke a-t-il fait de "l'ultra-banal" pour aller au Japon depuis la France et en repartir (je veux bien sûr parler des deux vols long-courrier en B77W AF), tout en étant supposé donner dans l'insolite, l'exotique et tout le reste quand il prend l'avion… ?
Eh bien la réponse est simple : n'ayant que 5 jours disponibles pour ce voyage, j'ai préféré faire au plus rapide, au plus simple et au moins coûteux pour moi en prenant Air France sur CDG-KIX (qu'elle est d'ailleurs seule à opérer en nonstop) et HND-CDG, afin d'optimiser mon temps de séjour à destination et d'en profiter le plus possible pour prendre sur place un maximum d'avions et de compagnies qui me tenaient à cœur. Si j'avais fait l'aller en 48 heures et le retour en autant de temps, avec plusieurs escales dans les deux sens, c'en aurait été fini pour moi de voler sur Aero K, Jeju Air, AirDo ou d'autres puisque ma contrainte était de partir de Paris le dimanche en début d'après-midi et d'être revenu le vendredi matin…
Et puis, je vais avouer une chose : quitte à reprendre des trucs déjà pris (ou pas encore pris mais facilement prenables en domestique comme 787 JAL ou ANA qui volent aussi nonstop entre la France et le Japon), eh bien je préfère prendre AF en LC. Pas tant pour le confort ou le catering qui sont globalement équivalents selon moi d'une "legacy" à une autre (en Y cela va de soi, sans oublier quand même le petit "plus" du champagne sur AF !), mais pour… LES FILMS ! Eh oui, étant féru de cinéma français (et italien, d'où mon affection pour AZ), je me satisfais toujours d'un LC sur AF qui me permet de voir ou de revoir un grand nombre de films français. Et je n'ai pas été déçu lors de ce voyage puisque j'en ai vu 8 en intégralité sur l'A/R !
Fin de la parenthèse "explicative"…
Retour au FR en tant que tel. Je viens d'arriver à Jeju en provenance de Choengju et je sors un court instant du bâtiment des arrivées domestiques.
… pour remonter quasi-instantanément au niveau des départs. Nous sommes à environ 1h de l'horaire de départ de mon vol, l'avant-dernier de la journée de Korean Air vers Séoul-GMP, mais les comptoirs d'enregistrement sont déserts.
J'étais déjà enregistré en ligne depuis la mi-journée, avec un siège couloir qui me convenait bien pour ce court vol de nocturne…
… mais je ne résiste pas au plaisir de prendre une carte d'embarquement "locale". On peut voir que l'heure d'embarquement indiquée est 21h20, postérieure de 5 minutes à celle du départ programmé. Un retard de 25 minutes est annoncé, en raison de la célèbre "arrivée tardive de l'appareil", donc ETD 21h40. Ca me va bien car c'est quand même la course depuis 6 heures du matin et je vais pouvoir souffler un peu.
En regardant mes messages un peu plus tard, je réaliserai que KE m'a bien informé de ce retard. Pour info ce vol payé environ 90€ me rapportera 500 miles FB et 2 XP, tandis que celui effectué le matin même de Busan à Séoul en A220 pour 70€ m'a rapporté 375 miles FB et 2 autres XP. Heureusement que je ne vise aucun statut sur FB (pas plus que sur un autre FFP) car je ne serais pas au bout de mes peines avec ça :-).
Deux infos utiles pour tout avgeek qui se baladerait de manière intensive (je veux dire sur le plan du timing…) en Corée du sud :
1/ Il n'est pas possible de faire une correspondance courte en restant airside, même si on est enregistré en ligne sans bagages. Tous les passagers qui arrivent d'un vol domestique doivent sortir par les arrivées comme s'il s'agissait de leur destination finale, et rejoindre ensuite le circuit départs complet comme si c'était leur point d'origine,
2/ A l'aéroport de Jeju, le contrôle documentaire (rapprochement carte d'identité / carte d'embarquement en présence du passager (de type TSA aux USA) des vols domestiques n'a pas lieu au même endroit pour les nationaux sud-coréens (à l'extrémité droite des comptoirs) et pour les étrangers (à gauche, près des départs internationaux) comme en témoigne le panneau "Foreigner" ci-dessous. Bon à savoir si l'on est pressé et que l'on n'a pas de temps à perdre en allant d'abord se faire refouler au milieu des sud-coréens.
Une fois le pif franchi en quelques secondes, voici le FIDS des vols domestiques programmés dans les 90 minutes à venir. Cela fait au minimum 5.000 passagers au départ, et autant à l'arrivée, en prenant une moyenne de 200 pax par vol, puisque tout ceci est un mix de A32S/B737NG et de gros porteurs (B763/A333 OZ et A333 KE). C'est impressionnant n'est-ce pas ? Et que dire de la destination principale, Séoul-Gimpo, dont la ligne avec Jeju est tout simplement la plus fréquentée du monde ! Ce record s'est baladé au siècle précédent entre les lignes Paris-Nice (régulier) et Dusseldorf-Palma (charter)… O tempora, ô mores…
Concernant mon KE1344 de 21h15 retardé de 25 minutes, un panneau spécifique a été mis en place près de la porte 7.
Je vais patienter tranquillement à mesure que la zone se vide au rythme des embarquements qui se succèdent, et je récupère miraculeusement le dernier exemplaire du magazine AIRPORT FOCUS sur ce présentoir, mais il suffit de scanner le QR-code pour y accéder depuis son smartphone.
Je vous passe les détails, car tout est écrit en coréen.
Allez, l'avion qui va assurer KE1344 vient d'arriver à 21h15 mais prend 5 minutes de retard supplémentaire. Il s'agit bien d'un des nouveaux A321neoLR de Korean Air et non pas d'un B767-300 d'Asiana tel qu'il apparaît sur la photo à droite. Un paradoxe entre l'avion le plus récent et le plus ancien (pris pour ma part en 1997) qui opèrent sur cette ligne CJU-GMP…
L'embarquement est lancé peu après, en respectant scrupuleusement les priorités "skyteamesques"
Le personnel sol est nombreux mais n'a pas à faire la chasse à ceux qui voudraient passer avant leur tour.
Notre A321 étant stationné au contact, je n'ai qu'un "instant porte" à proposer comme toute vue extérieure de l'appareil. Désolé.
Des écouteurs sont en libre service dans le galley avant.
Je traverse en vitesse la cabine J et ses sièges "prestige sleeper" dont plusieurs photos sont disponibles en fin de récit. Voici l'avant de l'éco.
S'agissant d'un A321neo, il y a des doubles issues d'aile qui remplacent celles de plain pied que l'on connaît sur les ceo.
Conséquence de ces modifications de structure : un rang (49) aveugle au milieu de la moitié arrière de la cabine, là où certaines compagnies exploitant l'avion de manière plus densifiée que cette version 8J+174Y ont des issues de plain pied.
C'est pareil côté gauche.
Pas de problème au rang 51, même si j'ai le couloir et pas le hublot.
Avec cette vue du rang 50 par dessus.
Il y a trois types de prises à disposition. Contre les supports des sièges, les traditionnelles sur secteur et les nouvelles USB-type C, sachant que des USB classiques existent sur l'encadrement des écrans IFE comme on le verra plus loin.
Le pitch est généreux et de surcroît je n'aurai pas de copax au 51B alors que le vol est quasiment complet.
La pochette du siège contient le magazine de bord Morning Calm
Je vous fais grâce du contenu à l'exception de la carte du réseau domestique de la compagnie.
Le magazine Sky Shop. Même si cet avion n'avait que des vols domestiques depuis le matin, donc sans possibilité de duty free, Korean Air propose de la vente par correspondance de produits divers.
Le détail de l'accès au wifi en vol, payant sauf pour l'accès au site de la compagnie.
Et enfin, pour en terminer avec le contenu de la pochette, voici l'incontournable consigne de sécurité en 4 pages.
La vue du plafonnier et du signal "attachez vos ceintures" indique que nous allons bientôt partir.
Non, les coffres à bagages sont encore ouverts tandis que les derniers passagers s'installent.
Les voilà à présents tous fermés. Il s'agit bien entendu de la dernière version à capacité accrue (les fameuses valisettes que l'on met désormais sur la tranche et non plus à plat), mais qui ralentit sensiblement les débarquements puisque l'on ne tient plus debout aux sièges couloir dès que tout le monde a rendez-vous avec Danette… !
Le départ est désormais proche et la plupart des passagers ont mis leurs oreillettes et tripotent l'écran tactile à la découverte du programme de divertissement de KE, très varié et identique à celui proposé en long-courrier.
La cabine est alors plongée dans l'obscurité, avec dégradé de couleurs par éclairage led, tandis que les consignes de sécurité vont être diffusées sur les écrans, en "son cabine" bien entendu.
La vidéo est très explicite mais n'a pas fait l'objet d'une mise en scène de type "cinéma", contrairement à de nombreuses compagnies qui rivalisent d'originalité dans ce domaine depuis quelques années.
Alors que l'on vient enfin de repousser, avec finalement 35mn de retard, je découvre à mon tour l'innombrable choix de films de la vidéothèque de KE. Rien de très à mon goût même si je n'ai fait que la survoler.
Le roulage est en cours alors qu'on prévoit 31 minutes airborne seulement.
Nous voilà enfin en l'air.
Ambiance cabine qui pourrait être celle d'un vol de nuit beaucoup plus long eu égard aux perfos de l'appareil et à son équipement cabine très sophistiqué.
La météo étant bonne, les consignes relatives aux ceintures sont éteintes et j'en profite pour faire une inspection des toilettes de l'arrière.
Ca brille et c'est impeccable de propreté, alors que l'avion en est à son 4ème A/R GMP/CJU/GMP de la journée !
Tout semble avoir été réarmé avant de partir de CJU, même si peu de pax doivent utiliser les toilettes sur ces vols ultra-courts.
Retour à mon siège.
Le "plus" proposé par KE sur cette ligne domestique hyper-fréquentée, ce n'est pas seulement l'avion ultra-moderne et suréquipé c'est aussi un service de boissons (choix entre eau et jus d'orange) assez symbolique et restreint vu le temps de croisière très réduit, mais qui a le mérite d'exister alors que sur les LJ, 7C, TW et autres, il ne se passe rien à ce sujet.
En aussi peu de temps qu'il suffit pour le dire ou l'écrire, nous sommes déjà en approche de Séoul-Gimpo.
Bloc arrivée 50 minutes après le départ de Jeju. Je laisse la plupart des pax débarquer afin de faire quelques photos supplémentaires de cette très belle cabine…
… et de ses racks à bagages XXL !
Le pitch du 1er rang de l'éco, en l'occurrence le rang 28, est assez généreux.
Comme promis lors de l'embarquement, je vais m'attarder sur les 8 sièges de la business ("Prestige Class") qui sont bien entendus conçus pour ce que sera l'utilisation principale des A321neo "LR" sur le réseau KE : des vols internationaux de plusieurs heures de/vers de nombreux pays du sud-est asiatique, avec un hard product aussi proche que possible de celui proposé sur gros porteurs.
Il y a assez peu d'intimité pour ceux qui ne voyagent pas en couple mais le design des sièges et quand même sympa. Renseignement pris c'est du "full flat".
Voilà ce que ça donne vu de face, avec un petit espace de rangement individuel et une mini-cloison au niveau de l'accoudoir central.
On remarquera que la sellerie gris foncé majoritairement en tissu contraste totalement avec celle bleu/vert clair (quasiment de la même couleur que les avions) en cuir que Korean Air avait retenu pour équiper la Prestige Class de ses B737Max, derniers avions moyen-courrier bi-classe à avoir rejoint la flotte avant les A321neo (sachant que les A220 n'ont pas de cabine J dédiée).
Les écrans sont de taille convenable pour un tel produit.
L'une des principales innovations réside dans ces tablettes fixes dans l'allonge des accoudoirs, servant aussi au logement des tablettes principales qui se déploient à partir du même montant latéral : des chargeurs sans fil de batteries de téléphones portables. Un concept qui va bien évidemment rapidement se répandre dans de nombreuses compagnies.
Perso, je n'en avais encore jamais vu dans un avion mais les experts ès classes P et J de ce site vont sûrement rigoler car c'est sans doute du déjà-vu pour eux.
Sur ce, je débarque bon dernier après ces quelques photos qui je l'espère intéresseront ceux qui envisagent un prochain vol en J sur 32Q KE, non pas sur un modeste CJU-GMP mais sur un vol de quatre ou cinq heures qui leur permettra de tester pour de bon ces nouveaux sièges et le soft product qui va avec.
A défaut de "fuselage shot" je me contenterai de ce "nose shot" arraché à la nuit de notre A321-272NX, immatriculé HL8556, dont la mise en ligne a eu lieu le 1er décembre 2023, soit un peu de plus de quatre mois auparavant.
Dans les couloirs de Gimpo, je réalise que ce vol KE1344 a bel et bien été le dernier de la soirée à arriver à GMP, et que j'ai par conséquent été le dernier passager à débarquer dans la partie domestique de cet aéroport qui a du en voir passer environ 50.000 autres depuis le début de la journée.
GMP n'est pas comme CDG où vous êtes condamné au taxi ou au VTC en ayant choisi un vol matinal ou tardif (sauf à vous aventurer de manière téméraire dans les bus "Noctilien", ça va de soi…). Ici, les nombreuses liaisons ferrées avec le centre de Séoul (AREX et métro conventionnel) sont adaptées aux besoins des passagers quels que soient les horaires de leurs vols.
C'est ainsi que s'achève ce FR principalement consacré à la découverte des cabines des nouveaux A321 de Korean Air.
Pour ceux qui souhaitent jouer les prolongations, je vous propose en bonus ci-dessous une visite rapide du Musée National de l'Aviation de Corée.
Malgré le peu de temps libre dont je disposais dans ce voyage en enchaînant les vols les uns après les autres, j'ai quand même pu faire un détour d'environ deux heures par le National Aviation Museum of Korea, situé à distance de marche de l'aérogare domestique de l'aéroport de Gimpo.
Pour s'y rendre c'est très simple : en sortant au rez-de-chaussée par les arrivées il suffit de sortir par la droite en direction du "Pet park".
Une fois celui-ci traversé (fort heureusement pour les narines, c'est en plein air), on rejoint la route en direction des parkings. Il suffit ensuite de suivre le fléchage vers le musée à partir de ce totem.
Une dernière route à traverser, et nous y sommes !
La façade se voit de loin et il ne faut pas plus de 5 minutes au total pour venir de l'aérogare.
A de rares exceptions près, le musée est ouvert tous les jours, toute l'année, de 10h à 18h. L'entrée est gratuite.
Il y a bien entendu une boutique où m'on trouve une sélection assez complète de maquettes et gadgets relatifs à l'aviation.
Les expositions s'étendent sur plusieurs étages et sont consacrées à tous les types d'aviation et à la conquête de l'espace, à toutes les époques, d'une manière à la fois pédagogique mais aussi très patriote.
Dans ce contexte, la part réservée au domaine militaire est très importante.
Si l'on veut tout voir en détail, il faut y consacrer une bonne 1/2 journée, voire plus, temps dont je ne disposais bien évidemment pas.
J'ai donc bien naturellement passé les 2 heures que je m'étais données à la partie du musée consacrée à l'aviation commerciale, et je n'ai pas été déçu. Il y a beaucoup de matière relative à l'avènement du transport aérien public de passagers, avec notamment KNA, ancêtre de KAL.
Maquettes, horaires, billets… tout y est pour satisfaire la curiosité de l'avgeek.
La transition de KNA vers KAL est très clairement décrite.
Sur le même schéma que pour KNA, on peut ensuite avoir une description détaillée des différentes périodes de la vie de KAL, avec un focus tout particulier sur l'âge d'or du transport aérien, des années 60 à 80.
C'est vraiment très intéressant et chaque document pourrait mériter que l'on s'y attarde plusieurs minutes.
Comme par exemple ces horaires de la ligne Séoul-Busan que je situe environ en 1985, sur laquelle coexistaient Fokker 27, Boeing 727 et Airbus A300 dont on a même droit au plan cabine.
L'ère moderne n'est pas oubliée avec l'appartenance de KE à Skyteam.
Un autre symbole fort de l'histoire du transport aérien sud-coréen est bien sûr le Boeing 747 de KAL, sachant la tragédie subie le 1er septembre 1983 au dessus de l'île de Sakhaline par les 263 passagers et membres d'équipage abattus par la chasse soviétique qui avait supposé le 747-200 HL7442 être un avion espion. Sans lien direct avec l'appareil disparu, mais dont le souvenir demeure, on peut voir une section de fuselage et ses équipements intérieurs.
Un réacteur PW JTD-9 ayant équipé les B747-100/200/300 est lui aussi en exposition.
Une très belle collection d'uniformes est également exposée, toutes les compagnies sud-coréennes étant représentées.
Comme un clin d'œil vis-à-vis de mon "air-trip" du moment, l'uniforme d'AERO K avec les jolies baskets blanches des PNC me montrent la direction de l'aéroport de Choengju, dont le réseau a été bien étoffé par cette nouvelle compagnie mais pas autant que pouvait laisser l'espérer l'assiette ci-dessous en 1984 :-)…
Merci beaucoup pour votre lecture et vos éventuels likes et commentaires !
Un vol qui a permis de découvrir le confort des cabines des nouveaux A321neo "LR" de KOREAN AIR, des avions qui seront sans aucun doute abondamment "reportés" sur ce site lors des années à venir, sur d'autres lignes que Jeju-Séoul où de tels standards sont très supérieurs à la moyenne.
Le vol emprunté en fin de journée a subi un retard compréhensible qui a été largement compensé par l'impression générale de qualité qui s'est dégagée grâce à cet avion ultra-récent dans lequel KE a investi comme ont pu le faire ITA, TAP ou d'autres afin de réduire autant que possible l'écart avec les gros porteurs sur des vols de sept ou huit heures que ces A321 sont désormais capables d'effectuer.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 16 avis concernant 6 compagnies sur la ligne Jeju City (CJU) → Seoul (GMP).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Korean Air avec 8,0/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 6 minutes.
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23 Commentaires
Info utile, est-ce précisé au comptoir par les agents ?
C'est une prestation au dessus de la concurrence qui est proposée par KE en Y comme en J.
J'ai hâte de voir ce que donnera un vol plus long dans cet appareil,
A bientôt,
Les agents KE croisés au comptoir d'enregistrement ne me semblaient pas à l'aise avec l'anglais et ne m'ont donc pas donné d'infos particulières au sujet du PIF destiné aux non-coréens. Mais pour avoir essuyé les plâtres la veille en allant me fourvoyer au PIF des coréens (en suivant le fléchage des départs domestiques), avant de partir sur un vol Jinair, je connaissais déjà le chemin...
A bientôt.
Un vol correct sur un avion très récent, mais comme dit plus dans le récit, le produit n'aura de valeur que sur un vol régional.
Bien que la nouvelle safety video met en avant certains points jusque là "négligés", suite aux événements survenus en début d'année, KE était comme les autres compagnies, à savoir ne pas manquer d'originalité.
Jolies photos du musée de l'aviation nationale coréenne. Il me semble d'ailleurs qu'il avait déjà été couvert par AirBretzel.
A bientôt. ;)
En effet à Jeju il y a un contrôle pour les étrangers différents des coréens , p-e avec un agent qui est capable de parler anglais et de le lire?
A bord le choix de couleur change énormément des cabines que je connais de chez KE.
J’avais adoré ce musée, très instructif et avec plein de choses.
On peut même se mettre dans la peau d’un passager et son parcours aéroport 🤣.
Et comme Thierry je ne me rappelle pas cette boutique de souvenirs.
À bientôt
Concernant le musée, il est vraiment très intéressant et à la portée d'un vaste public, avec comme tu le soulignes ce "parcours pax" très pédagogique.
Quant aux couleurs des cabines de chez KE, ça semble effectivement être le grand chambardement, y compris en Y où les A220 que tu pris comme moi n'ont rien à voir avec les A321.
A bientôt.
Faut t'il encore remplir de la paperasse et scanner un QR code Covid pour entrer en Corée ?
Comme toi, moi qui ne vais jamais au cinéma sur terre, je regarde toujours pléthore de films à bord.
Dernier vol de la journée, tu devais être épuisé en sortant de l'aérogare !
La classe Affaire de cet A321neo LR n'a rien à envier à celle des grands frères...
Je n'ai jamais visité ce musée à Séoul, c'est noté dans mes tablettes au cas ou.
Merci pour le partage, à bientôt.
Concernant la fatigue dans ce genre de trip effréné que je fais de temps en temps, je dirais, comme quand on fait du sport, que l'adrénaline permet de garder le moral et donc de ne pas trop ressentir la fatigue. Les années passant, j'évite à présent autant que possible les nuits "red-eye" sur les banquettes des aéroports car il est difficile d'enchaîner ensuite sur une journée de vols sans que cela ne tourne au calvaire. Tant pis pour mon budget, mais désormais quand je peux aller à l'hôtel prendre une bonne douche et dormir ne serait-ce que 5 ou 6 heures je le fais.
Merci pour le comm et à bientôt.
Ce A21N est bien équipé avec de bien grand écran pour la classe Y et j'ai noté qu'il faut éviter d'avoir le rang 49 qui ne dispose pas d'IFE naturel
La J me parait très bien, mais sur ce type de rotation est-ce vraiment un plus?
Si un jour je passe par GMP je ne manquerai pas de faire un tour par le musée
A bientôt
Philippe
Un grand oui, c'est un des atouts de Flight-Report de faire découvrir des expériences aériennes intéressantes, insolites et dépaysantes.
Et ton bonus donne une bonne idée supplémentaire de visite à Jeju.
A bientôt.
Ça a toujours été un de mes grands plaisirs sur AF, pouvoir revoir des classiques que je peux rarement voir à l’étranger. Puis avant l’offre musicale était excellente (radio nova pour dormir, le top).
Pas de risque que le Seoul - Jeju soit remplacé par un train haha
Jolie cabine avec de bons écrans, excellent pour ce vol domestique même si en 30 minutes il n’y a pas beaucoup de temps pour regarder quelque chose.
Merci pour ce FR
Intéressant de savoir que toute correspondance en Corée implique de repasser les contrôles.
Bon, petit précision technique, il existe aussi des 321neo avec les issues plain pied, la toute première génération a la même configuration portes que les ceo (les 321neo Hawaiian entre autres).
Joli, très joli hard product que propose KE sur leurs neo.
Le bonus est très intéressant, merci beaucoup !
A bientôt !
A bientôt.
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